L’Actu de la Data

Flottes d’entreprise de grands groupes : objectif 100 % électrique d’ici 2030

Les quotas de véhicules à faibles émissions fixés par la Loi d’Orientation des Mobilités, la nouvelle fiscalité et les bonus de l’État à l’achat ou à la location, encouragent bien évidemment l’accélération de l’électrification des flottes automobiles. En outre, la plupart des grands groupes mettent en place des politiques d’investissement visant 100% d’électrification de leurs flottes d’ici 2030.

À titre d’exemple, il y a quelques semaines, le groupe germanique Siemens, spécialisé dans les domaines de l’énergie et de la santé, affirmait en effet que sa flotte automobile serait 100 % électrique à l’horizon 2030.

Le géant allemand précise également que le nombre de bornes de recharge sur ses sites, y compris en France où il emploie six milles salariés, actuellement de 450, devrait être de 700 d’ici l’année prochaine.

En France, le nombre de modèles zéro émission au sein des flottes automobiles ne cesse en effet d’augmenter.

La détermination du collectif EV100 stimule les leaders français. Ce collectif né en 2017 à New-York, lors d’un sommet sur le climat, a comme objectif la fédération des grands groupes de la planète pour le développement de la mobilité électrique.

Un objectif commun vertueux qui peut laisser pensif à l’heure où en France, la proportion des véhicules 100 % électriques de flotte automobile ne représente que 8 % du total des immatriculations.

Néanmoins, d’autres groupes internationaux veulent y croire et affirment leur volonté de tenir de tels objectifs. Notamment depuis leur engagement au sein du collectif EV100.

En France, le nombre de modèles zéro émission au sein des flottes automobiles ne cesse en effet d’augmenter. Selon le dernier rapport du Climate Group, les entreprises du collectif EV100 auraient doublé le nombre de leurs véhicules d’entreprise en 2020 par rapport à 2019. Parmi celles qui auraient commandé le plus de modèles vertueux, on trouve EDF Group, Schneider Electric, Cap Gemini, Ikea ou encore DHL. Au-delà de l’EV100, on peut se féliciter que La Poste, serait à ce jour la 1ère flotte d’entreprise 100 % électrique à l’échelle nationale et même mondiale.

Il devra imaginer très rapidement un accompagnement fiscal et financier important : pour aider les flottes d’entreprise hexagonales (y compris les PME) dans leur transition énergétique

Citons également un autre leader français, en l’occurrence Atos, membre du CAC 40. En effet, cet expert en matière de services numériques vise le 100 % électrique de son parc à l’horizon 2024, en partenariat avec les constructeurs Renault et Stellantis.

Les flottes et les constructeurs sont de plus en plus sous pression.

Parallèlement, alors que la Commission Européenne vient, à la mi-juillet, de surprendre l’ordre établi par sa proposition de fixer 2035 comme l’année de la fin de l’autorisation de vente des voitures neuves essence et diesel, les entreprises de toute taille, prévoient de constituer leurs flottes 100 % électriques plus rapidement que prévu.

À moins que l’État français, entre autres gouvernements, ne parvienne à convaincre Bruxelles de revenir sur l’échéance initiale de 2040 qui, déjà, faisait grimacer beaucoup… il devra imaginer très rapidement un accompagnement fiscal et financier important : pour aider les flottes d’entreprise hexagonales (y compris les PME) dans leur transition énergétique d’une part, pour constituer le réseau en bornes nécessaire d’autre part, mais aussi pour venir en soutien à l’ensemble du secteur automobile, encore en convalescence…

Les 3 étapes pour devenir une entreprise « data driven »

L’afflux exponentiel des données peut être considéré par beaucoup d’organisations comme une charge plutôt que comme un atout. Les entreprises doivent donc adopter certains dispositifs afin que cette prolifération de données ne représente pas un frein à leur transformation. Voici une stratégie en trois étapes pour y parvenir.

Depuis toujours, l’expérience et les compétences acquises par l’humanité étaient stockées dans la mémoire biologique des individus, et entretenues par la mémoire collective. Les connaissances ne pouvaient trouver un accomplissement concret que par l’implication des individus détenteurs du savoir et du savoir-faire. Aujourd’hui, la mémoire de l’organisation est stockée dans les data centers, donnant naissance au concept d’organisation « data driven ». Pour autant, la donnée peut être considérée comme un fardeau par l’entreprise, mais aussi comme une opportunité. Pour la majorité d’entre elles, les sources de données sont disparates, coûteuses à gérer. Par conséquent, les données sont sous-exploitées dans les applications existantes.

Le rapport biennale, publié par Forrester, sur les thématiques de collecte et exploitation de la donnée dans les organisations met en lumière les difficultés de ces dernières face à l’explosion des données. D’après les professionnels sondés, cet afflux massif de données et l’incapacité à les analyser représente le troisième frein (2ème en France) majeur à la transformation numérique dans le monde.

Pour une stratégie d’exploitation de la donnée performante, votre stratégie peut s’articuler en 3 étapes:

En France, le fait de prendre conscience de la valeur des données ne signifie pas encore leur exploitation effective, loin de là. .. Les questionnés français de l’étude ne sont que 13% à donner une importance capitale aux données et à prioriser leur valorisation. Et même s’ils déclarent collecter les données, leur exploitation reste hypothétique : les 2/3 précisent même que leur collecte des données est trop rapide par rapport à leur capacité d’analyse et d’exploitation.

Pire encore, l’augmentation constante des volumes de données complique sensiblement leurs activités, déclare une majorité de répondants : 62 % (67 % en France) d’entre eux précisent qu’ils se retrouvent dans l’incapacité de respecter les règles de sécurité et de conformité en raison des masses de données qu’ils ont à traiter, tandis que 61 % (58 % en France) avouent que leurs équipes sont déjà sous l’eau des données qu’ils ont à disposition.

Une stratégie en trois actes

Néanmoins, il y a lieu de rester optimiste. Malgré les difficultés rencontrées, nombre d’organisations comptent passer à l’action pour l’avenir : 68 % (56 % en France) ont déjà prévu un déploiement de machine learning pour automatiser l’identification de données anormales, 59 % (60 % en France) ont l’intention d’adopter un modèle data-as-a-service et 54 % (60 % en France) comptent analyser profondément leur grille de performance pour repenser leur traitement et leur utilisation des données.

Le développement des logiciels ad hoc pour procurer aux prospects/clients les expériences personnalisées et intégrées qu’ils souhaitent.

Pour une stratégie d’exploitation de la donnée performante, votre stratégie peut s’articuler en 3 étapes :

  • La modernisation de votre architecture IT pour une exploitation des données à la source : la périphérie. À cette fin, les organisations doivent rapprocher leur infrastructure et leurs applications du point de collecte, d’analyse et d’utilisation des données, en veillant d’éviter leur prolifération, grâce à un modèle cohérent d’exploitation multi-cloud ;
  • L’optimisation des pipelines de données, permettant leur libre circulation sécurisée et leur enrichissement avec l’IA et l’apprentissage automatique ;
  • Le développement des logiciels ad hoc pour procurer aux prospects/clients les expériences personnalisées et intégrées qu’ils souhaitent.

Véhicules d’entreprise 2021 : le marché subit fortement la crise sanitaire

Selon l’Arval Mobility Observatory, juin 2021 a enregistré l’immatriculation de 76 395 véhicules légers sur le marché entreprise, ce qui représente une baisse de 9,8 % par rapport à juin 2019. Durant les 6 premiers mois de 2021, 430 380 véhicules ont été immatriculés, soit en baisse de 4,71 %.

De la même manière que pour les mois d’avril 2021 et mai 2021, en juin, l’Arval Mobility Observatory (AMO) a procédé à la comparaison du nombre d’immatriculations de véhicules légers sur le marché entreprise avec celui de juin 2019 plutôt que celui de juin 2020, compte tenu de la crise sanitaire due à l’épidémie de Covid-19.

Résultat : on a enregistré 76 395 immatriculations de véhicules légers en entreprise en juin 2021, soit un recul de 9,8 % par rapport à juin 2019, avec pourtant trois jours ouvrés de plus. Le marché entreprise s’en sort toutefois moins mal que le marché français global, en baisse de 13,5 % en juin 2021, avec 246 186 unités. Plus précisément, l’Arval Mobility Observatory a enregistré 45 725 véhicules particuliers (VP) immatriculés et 30 765 utilitaires légers (VUL), en recul respectif de 12,11 % et 5,85 %.

« Le marché entreprise n’a donc pas fini de souffrir des conséquences de la pandémie : au total, il subit un déficit de 21 250 immatriculations par rapport à 2019, commente l’AMO. »

En ce qui concerne l’énergie, le nombre de véhicules légers diesel immatriculés a dégringolé de 29,5 % en juin 2021 par rapport à juin 2019 avec 42 034 unités, et celui des véhicules essence de 25,01 % avec 16 315 immatriculations. À contrario, les ventes de véhicules électriques ont fortement progressé avec 13 460 véhicules hybrides qui ont été immatriculés (+ 371,80 %) – dont 6 475 rechargeables (+ 1 137,70 %) et 6 995 non rechargeables (+ 199,98 %) – ainsi que 4 850 véhicules électriques (+ 101 %).

Sur le premier semestre, on enregistre 65 885 immatriculations de véhicules légers hybrides (+ 332,6 %) dont 34 240 non rechargeables (+ 201 %) et 31 645 rechargeables (+ 720,28 %). S’y ajoutent 19 211 véhicules électriques (+ 81,48 %).

Au total, 430 380 immatriculations de véhicules légers ont été enregistrées sur le marché entreprise durant les 6 premiers mois de 2021, en recul de 4,70 % comparé au premier semestre 2019, avec deux jours ouvrés de plus. « Le marché entreprise n’a donc pas fini de souffrir des conséquences de la pandémie : au total, il subit un déficit de 21 250 immatriculations par rapport à 2019, commente l’AMO. »

Par type de véhicules, l’observatoire a enregistré 251 106 immatriculations de VP (- 5,39 %) et 179 275 de VUL (- 3,7 %). Par type d’énergie, sur le premier semestre, on enregistre 65 885 immatriculations de véhicules légers hybrides (+ 332,6 %) dont 34 240 non rechargeables (+ 201 %) et 31 645 rechargeables (+ 720,28 %). S’y ajoutent 19 211 véhicules électriques (+ 81,48 %).

Parallèlement, le nombre de véhicules légers diesel immatriculés a chuté de 20,6% avec 257 335 unités, et celui de véhicules léger essence de 15,05 % avec 85 592 unités. Au premier semestre 2021, les proportions par type d’énergie sont : 59,80 % pour le diesel, 19,87 % pour l’essence, 15,32 % pour l’hybride – dont 7,35 % pour l’hybride rechargeable et 7,96 % pour l’hybride rechargeable – et 4,46 % pour l’électrique.

2021, changement de technologie pour GlobalDataReport

Après la refonte de SirWebAnnuaire à l’automne dernier, c’est au tour de GlobalDataReport de se moderniser en basculant sur la solution d’analyse de données Power BI de Microsoft afin de retrouver plus de stabilité, sécurité, maintenance, visibilité, adaptabilité et évolutivité.

Nous avons porté nos efforts sur la reprise des rapports « Comptage Entreprises » , « Etudes Marketing Flottes Auto » et « spécifiques clients » ; vous devriez retrouver vos indicateurs clés et réflexes de navigation très rapidement. Les nouveaux rapports d’analyse GlobalDataReport remplacent les anciens rendus inaccessibles.

Aucune intervention ni installation particulière requise ! Cliquez et découvrez !

Ces nouveaux rapports, reprennent pour l’essentiel les informations et axes d’analyses. Toutefois, certaines modalités de navigation et d’utilisation sont différentes. Des sessions de présentations / formations ont déjà été planifiées, n’hésitez pas à vous rapprocher de vos interlocuteurs habituels pour vous y inscrire ou en initier de nouvelles.

Power BI facilite l’analyse et la visualisation des données pour aider à la prise de décision. Avec ces options de présentation sous forme de tableaux, de graphiques ou de cartes, la solution restitue des représentations opérationnelles des croisements de données de marchés, référentielles et internes pour une vision partagée avec vos équipes marketing et réseaux commerciaux.

Pour en savoir plus, visitez notre page GlobalDataReport

Quels sont les leviers de marketing digital les plus performants ?

Avec l’avènement du digital ces vingt dernières années, le marketing digital s’est définitivement imposé dans l’entreprise. Il est composé de toutes les techniques basées sur des supports et canaux web pour faire progresser la visibilité de l’entreprise. Véritable levier de performance, il a comme objectif premier de mettre en avant votre marque et d’optimiser votre réputation. 

Quels sont les principales pratiques et techniques utilisées en marketing digital?

Pour augmenter sensiblement vos chances d’atteindre vos objectifs, le meilleur moyen réside dans l’adoption d’une stratégie utilisant plusieurs canaux numériques.

Le SEO (Search Engine Optimization)

Le SEO est une technique d’optimisation du référencement naturel de votre site sur les moteurs de recherche. Il vous faut créer du contenu que votre cible, vos prospects potentiels rechercheront activement. Ensuite, prenez soin à ce que les moteurs de recherche sur lesquels votre contenu se trouve soient optimisés en vue d’un bon référencement.

Le SEA (Search engine marketing)

C’est un type de référencement payant qui permet à l’organisation de tirer profit de l’activité de recherche d’informations sur les moteurs de recherche. Vous achetez des mots-clés pour faire apparaitre des annonces publicitaires online via Google Adwords ou Bing Ads. Le SEA offre un réel plus en matière de rapidité par rapport au SEO, ce qui procure une économie de temps.

Les campagnes marketing d’e-mailing restent l’un des vecteurs de communication les plus performants pour toucher votre prospects/clients.

Le SMO (Social Media Optimization)

Le SMO a pour vocation l’accroissement de la notoriété de l’entreprise sur les réseaux sociaux. Les réseaux sociaux sont source d’interactions. Ils offrent en effet des possibilités d’échanges avec les prospects/clients et d’écoute de leurs avis.

En utilisant des hashtags, et en publiant de façon régulière des posts sur votre activité, vous augmenterez sensiblement le trafic vers votre site.

L’e-mailing

Avec le développement de l’usage des messageries instantanées, les e-mails sont moins utilisés. Pour autant, les campagnes marketing d’e-mailing restent l’un des vecteurs de communication les plus performants pour toucher votre cible.
Il est vivement recommandé de veiller à ne pas expédier d’e-mails en cascade, ce qui pourrait contrarier vos destinataires, mais aussi également affecter négativement votre réputation.

Marketing mobile

Avec l’utilisation quotidienne des Smartphones, une nouvelle technique de marketing est apparue durablement. Il s’agit du marketing mobile. Selon un rapport récent, en 2018 le trafic Internet mondial sur les ordinateurs était évalué à 45 %, contre 55 % sur les appareils mobiles. En 2021, ce taux est passé à 62 %.


Cette forme de marketing consiste à utiliser le téléphone comme vecteur de communication à l’instar de votre ordinateur avec des stratégies spécifiques. C’est le cas des publicités in App, SMS et messageries instantanées. Le marketing mobile est plus spécifiquement destiné à un public jeune.

Vos prospects/clients deviendront à leur tour des vecteurs de diffusion pour vos services ou produits

L’inbound Marketing

L’Inbound marketing que l’on peut traduire par « marketing entrant » consiste à attirer un trafic naturel grâce à un contenu de qualité. Cette approche est basée sur quatre idées : attirer, convertir, transformer et fidéliser. 

Quelles sont les étapes du webmarketing ?

Une stratégie de marketing digital performante est composée de 3 étapes. La première est celle de l’attraction. Celle-ci vise l’augmentation du trafic de votre site pour générer des leads. Le travail du SEO peut augmenter l’attractivité de votre site. La deuxième étape est celle de la conversion, de la transformation des visites en achats.

Vous devez inciter les visiteurs de votre site à agir (envoi d’une demande de devis, souscription à une newsletter, remplissage d’un formulaire…). Si cette étape est passée avec succès, vos prospects/clients deviendront à leur tour des vecteurs de diffusion pour vos services ou produits. La dernière étape est la fidélisation de votre clientèle. Cela entrainera une hausse régulière et permanente de votre CA.

Quelles techniques du marketing B2B sont plébiscitées en cette période de crise ?

Une montée en puissance des conférences en ligne (webinaires) et commentaires client… Voici deux des tendances enregistrées par le club des marketeurs in tech qui a collecté et analysé ce que les marketeurs B2B considèrent comme les nouveaux challenges à relever en 2021.

L’année 2021, compte tenu de la pandémie, sera celle de la chute des évènements : 72 % des marketeurs de la tech ont suspendu toute organisation d’événement, déclare le CMIT. Mais aussi, les meetings physiques (en présentiel) ont très souvent été remplacés par des rencontres à distance. 72% des professionnels du marketing B2B ont ainsi orienté leurs budgets vers les conférences en ligne. En pleine sortie de pandémie du COVID-19, 347 marketeurs B2B de tous domaines d’activité ont été questionnés d’avril à mai 2021. Parmi eux, 140 sont des professionnels du marketing du secteur informatique et leurs choix sont très tranchés : ils confirment la suppression des budgets événementiels et orientent ces derniers vers des opérations directes, vers une plus grande utilisation des réseaux sociaux ou des e-mailing, ils misent également sur les webinaires et investissent en gestion de contenu, qualité des bases de données

Quelles sont les tendances évoquées par les marketeurs tech ? Pour 99,6 %, il s’agit de l’e-mailing, suivi du contenu (98,6 %), des conférences en ligne (96,5 %) et du search (93,2 %).

De quelles manières les professionnels du marketing B2B envisagent-ils de communiquer avec leurs prospects/clients ? 55,4 % ont jusqu’alors misé sur les réseaux sociaux et 37% ont opté pour l’optimisation de leurs e-mailings. Plus précisément, LinkedIn est le réseau social le plus plébiscité : 98,2 % des marketeurs du B2B l’utilise. YouTube arrive en seconde position avec 49,9 % et Twitter monte sur la troisième marche du podium avec 46,2 %. 

Le Top 3 des contenus d’e-mailing les plus performants est pour 69,1 % le témoignage client, 62 % le livre blanc et l’Ebook et pour 57,4 % la conférence en ligne et le webcast.

Les 5 premières tendances “tech”

Quelles sont les tendances évoquées par les marketeurs tech ? Pour 99,6 %, il s’agit de l’e-mailing, suivi du contenu (98,6 %), des conférences en ligne (96,5 %) et du search (93,2 %). En ce qui concerne les leviers générateurs de ROI, 64,2 % plébiscitent la conférence en ligne ; 51,5% le site web ; 46,4% le search; 35 % l’e-mailing et 32,6 % la syndication. 

Le Top 3 des contenus d’e-mailing les plus performants est pour 69,1 % le témoignage client, 62 % le livre blanc et l’Ebook et 57,4 % la conférence en ligne et le webcast.

Les résultats de l’enquête sur le périmètre IT sont très riches en enseignements pour différentes raisons : Même si les investissements dans les événements reculent sensiblement, ils sont encore de taille, ainsi les conférences en ligne qui étaient déjà très prisées par les marketeurs le sont encore plus et les podcasts émergent. La tendance de la montée en puissance du média vidéo est aussi confirmée avec la seconde place de YouTube en tant que réseau social utilisé. Mais aussi, le témoignage client est reconnu comme le contenu le plus performant en termes de ROI devant les contenus de la marque. Comme on peut le constater, il existe une réelle évolution des modes de promotion des savoir-faire de l’entreprise via l’emploi de leviers de communication plus digitaux et des contenus personnalisés, afin de se démarquer de la concurrence et d’optimiser les performances de ses campagnes.

Prospecter en profitant des opportunités offertes par le numérique

Actuellement, les technologies du numérique sont devenues omniprésentes dans toutes les activités humaines et les organisations ne font pas exception à la règle. Tous les départements d’une entreprise sont concernés. Quel que soit le domaine d’activité, le numérique y est à coup sûr présent.

Les nouveaux leviers de prospection commerciale

Le CRM

Le Customer Relationship Management ou CRM est une solution de gestion des relations entreprise-clients (potentiels ou réels). Il offre aux entreprises des possibilités d’interactions permanentes avec les prospects/clients en vue d’optimiser la qualité de leurs relations.

Une solution CRM est très performante pour la prospection commerciale digitale compte tenu du fait qu’elle permet l’enregistrement des coordonnées des prospects/clients, de leur e-mail, leurs profils sur les réseaux sociaux, leurs numéros de téléphone, etc.

Le CRM propose donc un classement des prospects/clients, ce qui facilite grandement l’identification des différents profils. Cet outil est d’autant plus intéressant pour les grandes organisations possédant une clientèle importante et de nombreuses gammes de produits destinées au grand public.

Les réseaux sociaux

S’il existe des plateformes qui sont désormais prises très au sérieux par les professionnels du marketing, ce sont les réseaux sociaux. Ces applications sont très addictives et des centaines de millions d’internautes s’y connectent quotidiennement. Ce sont donc de vrais creusets de clients potentiels. 

L’e-mailing est une technique visant à expédier de façon régulière des e-mails à vos prospects/clients en évitant de les bombarder de messages.

Il est ainsi essentiel de vous mettre en valeur par la publication de contenus mettant en avant votre entreprise et d’anticiper les attentes de vos prospects/clients. Vous devez mettre en ligne des informations utiles, pertinentes et pouvant offrir des réponses adaptées aux besoins de vos prospects. C’est ainsi qu’est née la fonction de community manager.

Les réseaux sociaux offrent aussi des solutions pour une meilleure visibilité. Il existe en effet des possibilités de sponsorisation qui mettent en avant votre page pour une plus grande visibilité de vos annonces. Vous pouvez par exemple paramétrer la diffusion de vos messages sur Facebook, permettant ainsi un ciblage très fin.

L’e-mailing

L’e-mailing est une technique visant à expédier de façon régulière des e-mails à vos prospects/clients en évitant de les bombarder de messages. Cette pratique est en 2021 très utilisée.

Éviter d’être trop invasif avec vos prospects/clients donne du crédit à votre organisation sur le respect de leur vie. Les technologies associées à l’e-mailing permettent de tracker un document, de suivre le comportement d’un prospect confronté à la lecture d’une proposition commerciale ou une plaquette.

Les informations présentes dans les profils des destinataires de vos e-mailings vous permettent une personnalisation de vos contenus et de pouvoir offrir des réponses pertinentes à leurs probables besoins…

Le blog d’entreprise 

Le blog d’entreprise est créateur de valeur ajoutée grâce au contenu qualitatif qu’il véhicule. Il permet à la marque de mettre en avant sa qualité d’expert de son domaine d’activité. Il peut donc orienter des prospects vers votre site.

Employer les techniques d’e-mailing et utiliser les réseaux sociaux facilite grandement le travail des commerciaux grâce au plus grand nombre d’internautes, de mobinautes et de membres connectés.

La possibilité d’acquérir plus de prospects

Le web constitue un véritable eldorado pour dénicher un plus grand nombre de prospects qualifiés en beaucoup moins de temps. Aujourd’hui, société de l’hexagone, vos prospects/clients peuvent désormais se trouver partout à l’international et vos ventes créditées en temps réel.

Employer les techniques d’e-mailing et utiliser les réseaux sociaux facilite grandement le travail des commerciaux grâce au plus grand nombre d’internautes, de mobinautes et de membres connectés. Ils sont donc plus performants que lors des prospections commerciales classiques.

Une mise en relation rendue plus facile

Prospecter en ligne facilite l’entrée en contact avec de nouveaux prospects en leur envoyant uniquement des e-mails ou des landing pages. Ainsi, ces derniers ont une liberté de réaction, à leur guise, sans être importunés par les centres d’appels.

Suivi en temps réel de chaque prospect

Si l’internaute réagit à un outil de prospection, il passe immédiatement du statut de visiteur à prospect. Ainsi, votre entreprise intègre ce client potentiel dans sa base de données et peut l’assister en temps réel sur ses futurs achats et lui offrir des réponses adaptées à ses besoins.

Cette liste n’est pas exhaustive, et les innovations technologiques permanentes offrent chaque jour ou presque de nouvelles opportunités. Les comportements des internautes sont aussi en pleine évolution, ils sont de plus en plus informés, et surtout ils apprécient les organisations qui les respectent et qui accordent une réelle et sincère importance à leurs attentes et besoins.

Maîtrisez-vous la souveraineté de vos données ?

Les organisations françaises ont-elles vraiment la maîtrise de leurs données informatiques ? Exit Microsoft ! L’État français a récemment annoncé son intention ne pas retenir l’entreprise américaine pour l’hébergement de la « health data hub », qui doit regrouper les bases de données de santé des citoyens français. On ne peut qu’applaudir cette intention, compte tenu des craintes réelles de divulgation de nos données aux autorités états-uniennes.

Cette problématique rappelle l’important défi que représente la protection de nos données personnelles au niveau national.

Mais interrogeons-nous sur les PME françaises ? Sont-elles « souveraines » sur les bases de données qui alimentent leur système informatique ? Sont-elles en maîtrise de leurs « données » ? Peuvent-elles y accéder et les exploiter à leur guise (dans la limite de la réglementation) ? Leur exploitation est-elle facilitée ou au contraire freinée ?

Même si cela semble éloigné du prisme politique et « souverain » au sens national, ce questionnement est parfaitement justifié. Car en effet, au-delà de la « transition numérique », sujet largement débattu, l’un des défis véritables pour les entreprises est bien la reprise en main de leurs données.

Si vous utilisez par exemple un outil de gestion comptable (« ERP »), vous pouvez collecter les données, les analyser et les visualiser

Beaucoup de données, mais malheureusement en silos…

Force est de constater que sur le terrain, l’accès à la masse de plus en plus importante de données qui alimente désormais l’ensemble des SI des PME est souvent difficile.

Pour quelles raisons ? Par exemple les données sont souvent hébergées sur des logiciels qui ne laissent pas aux organisations la possibilité d’une extraction simple pour leur consolidation ou leur croisement.

Si vous utilisez par exemple un outil de gestion comptable (« ERP »), vous pouvez collecter les données, les analyser et les visualiser. Mais vous ne pourrez pas les extraire du logiciel en question pour les croiser avec d’autres données…

En revanche, pour avoir une vision par destinataire, croiser les données de l’ERP et celles de la solution de diffusion de votre e-mailing est nécessaire.

Résultat : des données conservées en silos et qui ne peuvent être utilisées que dans le cadre de la solution logicielle qui les traite. Or, tout l’intérêt de l’exploitation des données, c’est de pouvoir procéder à leur comparaison, leur corrélation, à l’identification des tendances, etc.

Autre exemple : vous avez lancé une campagne commerciale d’e-mailing. Vous pouvez bénéficier d’une vision macro des résultats grâce au volume de ventes dans l’ERP. En revanche, pour avoir une vision par destinataire, croiser les données de l’ERP et celles de la solution de diffusion de votre e-mailing est nécessaire. Or, ces solutions n’autorisent pas toujours cette opération (voire la rendent plus complexe).

Retrouvez une maîtrise de vos données !

L’objectif essentiel est d’arriver à ce que les PME ne soient plus des « prisons dorées ». Quels que soient les solutions logicielles qu’elles emploient, elles doivent pouvoir avoir accès à l’ensemble de LEURS données, celles-ci constituant un véritable patrimoine, à l’instar de leur patrimoine financier ou immobilier.

De quelle façon ? Nous recommandons la mise en place d’une plateforme de données qui procédera à la collecte au sein de l’ensemble des sources pertinentes pour l’organisation et qui bénéficiera de mises à jour automatiques.

Cette plateforme garantira le décloisonnement des données, et à l’ensemble des collaborateurs de pouvoir y accéder.

Surtout, elle rendra les organisations parfaitement souveraines et autonomes en matière de données.

E-mailing : quel timing d’envoi pour plus d’efficacité ?

Le choix du jour d’envoi d’un e-mailing est-il déterminant sur l’efficacité de celui-ci ? La réponse est évidemment oui. Si le moment est bien choisi, vous pourrez enregistrer une augmentation très sensible du taux d’ouverture et du taux de clics de votre e-mailing et, in fine, un renforcement de l’engagement de vos contacts et une maximisation de vos opportunités de ventes. En revanche, les performances de votre campagne seront moindres si vous choisissez un moment de la journée où les destinataires sont concentrés sur autre chose. 

Mais avant d’en être à effectuer le choix du meilleur moment pour l’envoi d’un e-mailing, vous devrez au préalable vous assurer d’avoir mis en place les bonnes pratiques de base, tant sur le plan technique, que sur celui du contenu ou encore de la segmentation de l’audience. L’authentification de votre nom de domaine est-elle effective pour augmenter vos chances d’arriver en boîte de réception ? La rédaction de l’objet d’e-mail est-elle suffisamment attractive pour vos destinataires ? Avez-vous bien intégré des calls-to-action pour motiver vos lecteurs à passer à l’action ? Avez-vous bien effectué le nettoyage de votre base de données prospects/clients et placé un lien de désabonnement dans vos e-mails marketing ?

Il est maintenant incontestable que les e-mailing réalisés en milieu de semaine, du mardi au jeudi, présentent généralement les taux d’ouverture et les taux de clics les plus élevés

Nombreuses sont les organisations ne prenant pas encore en compte toutes ces étapes, pourtant incontournables, lors de la mise en œuvre d’une campagne d’e-mailing. La bonne compréhension des caractéristiques de votre audience afin de pouvoir segmenter votre base de données, personnaliser votre contenu, et ainsi cibler et individualiser au mieux vos messages, est cruciale. Vous pourrez alors effectuer votre choix du meilleur moment pour appuyer sur le bouton « Envoyer ». 

Voici quelques recommandations pour choisir le bon jour et l’heure d’envoi la plus pertinente. 

Il est maintenant incontestable que les e-mailing réalisés en milieu de semaine, du mardi au jeudi, présentent généralement les taux d’ouverture et les taux de clics les plus élevés. Les plus mauvais jours sont le dimanche, suivi du samedi et du lundi. 

Quelle est le meilleur horaire de la journée ? 

D’après une enquête réalisée récemment, les utilisateurs français consultent de préférence leurs e-mails le matin et le soir. Mais si ce constat est valable en France, il peut ne pas l’être d’un pays à l’autre, ce qui complique un peu les choses si vous souhaitez vous adresser à une audience internationale. 

Ces quelques recommandations pratiques devraient vous aider à choisir le bon moment pour l’envoi de vos e-mailings, et ainsi optimiser leurs performances.

Pour autant, par une programmation de tous vos envois d’e-mailing selon le Temps Universel Coordonné (UTC), il vous sera plus aisé de prendre en compte le décalage horaire entre chaque pays. Selon une étude sur le meilleur moment pour expédier un e-mailing, 15 h UTC est la meilleure heure pour une campagne internationale, quel que soit le jour choisi.

Ces quelques recommandations pratiques devraient vous aider à choisir le bon moment pour l’envoi de vos e-mailings, et ainsi optimiser leurs performances. Vous devez toutefois tenir compte en permanence de leurs statistiques et des retours des destinataires, pour un affinement continuel de votre stratégie d’e-mailing au fur et à mesure des envois. 

L’optimisation des performances de vos e-mailings passe donc par une analyse permanente des habitudes et des besoins des destinataires. Car vous l’aurez compris, les envois « à l’aveugle » ne sont jamais payants. 

Données et processus : deux notions étroitement associées

L’importance grandissante du Big Data et du Cloud a projeté la collecte, le traitement et l’exploitation des données au centre des préoccupations stratégiques de l’entreprise. Données et processus sont en effet au centre des enjeux métiers.

Les données ne peuvent trouver leur utilité qu’au travers de leur exploitation, et les processus ne peuvent créer de la valeur qu’à partir de données de qualité. C’est donc sur ces réalités vertueuses qu’aujourd’hui les organisations se focalisent pour optimiser leur dispositif de gestion des processus métier et l’automatisation intelligente des processus et du workflow.

Prenons le cas des RH, grâce au traitement des données, le juste choix des candidats est grandement facilité

Quelle que soit leur niveau de structuration, les données, lorsqu’elles sont reliées aux processus métiers, sont créatrices de valeur. Et c’est ensuite grâce à ce lien établi que l’organisation peut devenir proactive face aux nombreuses évolutions de son écosystème. Les règlementations récentes et les nouvelles pratiques imposent désormais l’optimisation, la simplification et la rationalisation des processus. L’exploitation des données permet quant à elle l’identification anticipée des besoins des clients, la proposition de services/produits plus ciblés.

Beaucoup de processus métiers se nourrissent de données, et ce quel que soit le cœur de métier des entreprises. Prenons le cas des RH, grâce au traitement des données, le juste choix des candidats est grandement facilité. Lorsqu’un CV est reçu par e-mail, il est automatiquement indexé et les données transmises. Le CV est ensuite évalué de façon automatisée grâce à l’intelligence artificielle et aux spécificités métiers, il sera ensuite transmis au service des ressources humaines pour la suite de son traitement.

Le fait de veiller particulièrement à la qualité des données avec comme objectif l’amélioration des processus métiers offre de nombreux avantages :

Les processus métiers qui se nourrissent des données ne se limitent pas aux RH. Les éditeurs de logiciels ont d’ailleurs développé des solutions sur mesure, en fonction du cœur de métier des entreprises. Les CRM, par exemple, sont aujourd’hui particulièrement utilisés dans le commerce de détail pour :

  • Un accès facilité à l’information ;
  • Une plus grande satisfaction et fidélisation des clients ;
  • Une augmentation des ventes ;
  • Une valorisation de l’image de l’entreprise ;
  • L’attirance de nouveaux clients ;
  • Etc.

Ce constat est également le même dans le domaine industriel, avec la gestion de la relation fournisseur et notamment de la sous-traitance.

Processus métiers et données : des domaines d’activités divers, des principes communs.

Si les processus varient selon les domaines d’activité des entreprises, les grandes règles de fonctionnement des processus métiers se nourrissant des données restent identiques : une qualité des données optimale et des processus métiers qui adhèrent au système d’information.
Le fait de veiller particulièrement à la qualité des données avec comme objectif l’amélioration des processus métiers offre de nombreux avantages :

  • Une augmentation du chiffre d’affaires et de la productivité ;
  • Une réduction des dépenses dont la pertinence est moindre ;
  • Une plus grande maîtrise du risque ;
  • Etc.

Par le choix d’une solution logicielle qui leur permet d’éliminer les doublons, d’effectuer des mises à jour régulières des contacts, de bien renseigner les attributs, de prendre en compte les formats et normes de saisie et de pouvoir exploiter des données propres, les professionnels de la collecte et du traitement des données et les DSI peuvent ainsi fluidifier le workflow et améliorer la rentabilité de l’entreprise.

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